I- Définitions :
· Infection : Une infection désigne l'envahissement puis la multiplication de micro-organismes au sein d'un organe du corps vivant. Ces micro-organismes peuvent être des virus (par exemple ceux de la grippe) ou des bactéries comme les (streptocoques ou les staphylocoques dans les infections cutanées, les Escherichia Coli dans les infections urinaires).
Une infection peut également
être provoquée par des parasites comme les protozoaires provoquant la
toxoplasmose par exemple) ou par des champignons ou mycoses comme par exemple
une infection à candida albicans.
L'organisme va mettre en place des procédés de défense pour éradiquer le
micro-organisme indésirable. Un des principaux symptômes d'une infection est la
présence de fièvre et d'une fatigue.
·
Surinfection : La surinfection vient
après l'infection primaire d'un corps ou d'une de ses parties. En général, la
surinfection arrive lorsqu'une personne possède un système immunitaire déjà
défaillant. Elle peut être résistante aux antibiotiques comme les maladies
nosocomiales par exemple. La surinfection se manifeste également pendant une
grippe particulièrement forte ou lors d'une plaie chronique. La surinfection
peut avoir des variantes venant d'un même virus et sont résistantes à certains
médicaments. Il s'agit alors de surcontamination.
·
Auto-infection : L'auto-infection
correspond, chez un individu, au développement d'une infection sans apport de
germes externes, c'est-à-dire qu'elle est due à une prolifération pathologique
de germes déjà présents ou normalement présents dans l'organisme. C'est le cas
avec Escherichia coli, normalement présent dans notre côlon, qui peut migrer
dans d'autres organes (appareil urinaire par exemple) et y développer des
infections parfois très graves. Autre exemple : le virus de l'herpès génital,
qui peut se transmettre à d'autres parties du corps (et bien sûr à d'autres
personnes) si l'on ne se soumet pas à des règles élémentaires et strictes
d'hygiène.
·
Infection nosocomiale : Une infection
nosocomiale est une infection contractée dans un établissement de soins. Si
l'infection apparaît très tôt, moins de 48 h après l'admission, on en déduit
généralement que l'infection était en
incubation au moment de l'admission, et qu'elle n'a vraisemblablement pas pu être contractée dans
l'établissement de soins. L'infection n'est alors pas considérée comme
nosocomiale.
A l’inverse, une infection qui
se révèle après la sortie de l’établissement de soins peut très bien être nosocomiale. On considère
que toute infection du site opératoire qui se révèle dans les 30 jours suivant une intervention
chirurgicale est a priori nosocomiale, c’est à dire sauf
démonstration du contraire. Ce
délai est porté à un an pour les infections survenant en cas de
mise en place de matériel
prothétique (prothèse articulaire, matériel métallique de fixation ou de suture).
·
Transmission croisée : Transmission
de micro-organismes d'un patient à un autre par l'intermédiaire de matériels,
surfaces ou des personnels eux-mêmes (par les mains principalement).
II-
L’infection nosocomiale :
les infections nosocomiales ont des origines
aussi variées que le sont leurs manifestations sanitaires. Les conséquences
sont dommageables, et parfois dramatiques, pour le patient, et financièrement
sensibles pour la société.
L'apparition d'une infection nosocomiale
dépend de nombreux facteurs :
Ø Présence de germes en milieu hospitalier : L'hôpital et la
clinique abritent de nombreuses sources de germes (virus, bactéries) : le
patient et le personnel, le matériel et les surfaces, et l'environnement.
Le patient et le personnel
constituent la plus importante source de germes. C'est bien normal,car tout être humain est
porteur d'un grand nombre de germes, dont certains sont bénéfiques pour la santé (par exemple, les
bactéries présentes dans l'intestin aident à la digestion).
Le matériel de soins et les
surfaces sont recouverts naturellement de nombreux microbes, et aussi peuvent être contaminés
par les germes apportés par les personnes, présents sur les mains, dans la bouche, etc.
L'environnement représente aussi une source de germes, mais
ceux-ci sont moins fréquemment en cause. L'air,
l'eau, l'alimentation contiennent des germes qui ne sont pas dangereux dans les conditions
normales mais peuvent provoquer des infections chez les patients fragiles, ou bien
lorsque ces germes sont introduits directement à l'intérieur du corps(par exemple lors d'une
opération chirurgicale).
Ø Modes de
contamination :
-
Les infections d'origine
endogène : le malade s'infecte avec ses propres germes.
- Les infections d'origine exogène : Il peut s'agir d'infections croisées, transmises d'un malade à l'autre par les mains ou les instruments de travail du personnel médical ou paramédical ,d'infections provoquées par les germes du personnel, du matériel, des instruments… ou d'infections liées à la contamination de l'environnement hospitalier (eau, air, matériel, alimentation...).
- Les infections d'origine exogène : Il peut s'agir d'infections croisées, transmises d'un malade à l'autre par les mains ou les instruments de travail du personnel médical ou paramédical ,d'infections provoquées par les germes du personnel, du matériel, des instruments… ou d'infections liées à la contamination de l'environnement hospitalier (eau, air, matériel, alimentation...).
Ø Etat du
malade :
Quel que soit son mode de
transmission, l'apparition d'une infection nosocomiale est favorisée par la situation médicale du
patient :
- Son âge et sa pathologie : les personnes âgées, les immunodéprimés, les nouveaux-nés, en particulier les prématurés, les polytraumatisés et les grands brûlés sont particulièrement réceptifs.
- Son âge et sa pathologie : les personnes âgées, les immunodéprimés, les nouveaux-nés, en particulier les prématurés, les polytraumatisés et les grands brûlés sont particulièrement réceptifs.
- Certains traitements
(antibiotiques )qui déséquilibrent la flore des patients et sélectionnent les bactéries résistantes ;
traitements immunosuppresseurs).
- La réalisation d'actes invasifs
(tels que la pose d'une perfusion, d'une sonde urinaire, les opérations chirurgicales),
nécessaires au traitement du patient.
Ceci explique que les
infections soient plus fréquentes dans les services de réanimation où les patients, déjà fragilisés par
leur maladie, sont ventilés, sondés, perfusés, plutôt qu'en médecine interne où les actes invasifs
sont moins fréquents et / où les patients accueillis sont généralement moins fragiles.
Ø Prévention des
infections nosocomiales : En médecine, le « risque zéro »
n'existe pas. Pour cette raison, il n'est pas toujours possible d'éviter les
infections nosocomiales. Il est par contre tout à fait possible d'en limiter la
fréquence et la gravité, en respectant abord scrupuleusement de simples règles
d'hygiène.
Pour les visiteurs : Les visiteurs peuvent constituer
une source ou un vecteur d'infection. Pour cette raison, il est nécessaire de
respecter quelques règles :
-Les visiteurs présentant une
infection des voies respiratoires ou toute autre maladie contagieuse ne devraient pas
entrer dans les secteurs de soins.
-Les plantes en pot et les
fleurs coupées sont autorisées dans les chambres des malades(même si de nombreux
champignons et bactéries se retrouvent dans la terre). L'eau des fleurs coupées
doit contenir quelques gouttes d'eau de Javel, afin d'éviter le développement
de nombreux micro-orgnismes. Elles sont interdites dans les services recevant
des patients immunodéprimés ou à risque (réanimation, néonatalogie,…).
Les visiteurs doivent se
laver les mains avant et après la visite d'un malade afin d'éviter la
transmission manuportée de germes.
Les visiteurs doivent
accepter qu'un malade contagieux ou fragile soit placé en isolement,
particulièrement adapté à la prévention de maladies transmissibles et de la
transmission de bactéries résistantes aux antibiotiques. Cet isolement ne
préjuge pas de la gravité de l'état du patient.
Pour les patients : En
cas d'intervention, le patient est personnellement impliqué et doit respecter
les consignes de préparation chirurgicale :
-
La douche antiseptique doit être prise de
façon minutieuse.
-
La dépilation de la zone
opératoire ne doit pas être faite au rasoir mais à l'aide d'une tondeuse.
-
Le patient ne doit pas
manipuler personnellement les dispositifs invasifs tels que les cathéters,
sondes, drains ou redons.
-
Le patient doit avoir une
bonne hygiène corporelle générale, il lui est indispensable de se laver les
mains après les toilettes et de prendre une douche si possible chaque jour.
Pour le personnel :
Pour tout patient, quelque soit son statut infectieux, le personnel doit
respecter des précautions dites standard :
-
Hygiène des mains (lavage
ou friction à l'alcool) : entre 2 patients, 2 activités.
-
Port de gants : si risque de contact avec du
sang ou tout autre produit d'origine humaine.
-
Changement entre 2
patients.
-
Port de surblouse, lunettes ou masque : si les
soins exposent à un risque de projection de sang ou tout autre produit
d'origine humaine.
-
Matériel au statut infectieux contrôlé, et
chaque fois que possible à usage unique.
-
Nettoyage et désinfection
du matériel et des surfaces entre chaque patient.
En complément de ces
précautions simples, certaines infections (ou suspicions d'infection)
nécessitent la mise en œuvre de précautions particulières, définies en fonction
de l'agent infectieux et de la localisation et la gravité de l'infection :
ü
Isolement en chambre
individuelle.
ü Renforcement du lavage des mains.
ü Port de vêtements de protection.
ü Précautions accrues lors de l'élimination des instruments , du
linge contaminé et des déchets.
Je viens de Paris, on m'a diagnostiqué un cancer du foie au deuxième stade et un brouillard cérébral suite à un examen programmé pour surveiller une cirrhose du foie. J'avais perdu beaucoup de poids. Une tomodensitométrie a révélé trois tumeurs ; un au centre de mon foie dans les tissus endommagés et deux dans les parties saines de mon foie. Aucun traitement de chimiothérapie ou de radiothérapie n'a été prescrit en raison de mon âge, du nombre de tumeurs hépatiques. Un mois après mon diagnostic, j'ai commencé à prendre 12 (350 points) suppléments de Salvestrol par jour, en fonction de mon poids corporel. Cela comprenait six capsules de Salvestrol Shield (350 points) et six capsules de Salvestrol Gold (350 points), réparties tout au long de la journée en prenant deux de chaque capsule après chaque repas principal. Ce niveau de supplémentation en Salvestrol (4 000 points par jour) a été maintenu pendant quatre mois. De plus, j'ai commencé un programme d'exercices de respiration, d'exercices de chi, de méditation, d'étirements et d'évitement du stress. En raison de la variété des conditions dont je souffrais, j'ai subi des examens médicaux continus. Onze mois après le début de la supplémentation en Salvestrol Mais tous invalides, je continue donc à chercher un remède à base de plantes en ligne. Comment je suis tombé sur un témoignage appréciant le Dr Itua sur la façon dont il a guéri son VIH / Herpès, je l'ai contacté par e-mail qu'il a indiqué ci-dessus, le Dr Itua m'a envoyé son médicament à base de plantes contre le cancer à boire pendant deux semaines pour guérir je l'ai payé pour la livraison puis j'ai reçu mon médicament à base de plantes et je l'ai bu pendant deux semaines et j'ai été guéri jusqu'à maintenant je n'ai plus de cancer, je vous conseille de contacter Dr Itua Herbal Center par e-mail... drituaherbalcenter@gmail.com. Numéro WhatsApp... +2348149277967. Si vous souffrez des maladies énumérées ci-dessous,
RépondreSupprimerCancer
VIH/Sida
Virus de l'herpès
Cancer de la vessie
Cancer du cerveau
Cancer du côlon et du rectum
Cancer du sein
Cancer de la prostate
Cancer de l'oesophage
Cancer de la vésicule biliaire
Maladie trophoblastique gestationnelle
Cancer de la tête et du cou
lymphome de Hodgkin
Cancer de l'intestin
Cancer du rein
Leucémie
Cancer du foie
Cancer du poumon
Mélanome
Mésothéliome
Le myélome multiple
Tumeurs neuroendocrines
Lymphome non hodgkinien
Cancer de la bouche
Cancer des ovaires
Cancer des sinus
Cancer de la peau
Sarcome des tissus mous
Cancer de la colonne vertébrale
Cancer de l'estomac
Cancer des testicules
Cancer de la gorge
Cancer de la thyroïde
Cancer de l'utérus
Cancer du vagin
Cancer de la vulve
Hépatite
Maladie chronique
Lupus
Diabète
Fibromyalgie
Infertilité hommes/femmes
Crampe menstruelle.